Sous le soleil des tropiques
Mathieu était un sim tourné vers la richesse et donc très ambitieux …
… aussi décida-t-il d’ouvrir un nouveau commerce à Rivazur : l’Exotik Papaya, une boutique de vêtements « tendance, pour les sims à la mode », ça promettait!
L’Exotik Papaya en attendant, elle payait vraiment pas de mine, avec ses couleurs tristes et ses arbres tout défraîchis.
A l’intérieur, c’était pas la joie non plus. Mais pour ce que Mathieu comptait en faire, ça valait pas le coup d’engager des frais. Le jeune homme comptait simplement grappiller quelques points bonus supplémentaires pour, entre autre, se faire une bonne réputation dans le quartier.
Et ça marchait plutôt bien! Les clients étaient contents …
… et Mathieu obtint la réputation d’ « âme charitable », ainsi que de gros bonus de départ pour ses futures relations. Vu son niveau de sympathie, ça lui serait bien utile! Sans compter qu’il se baladait avec des feuilles sur la tête mais ça, bizarrement, ça semblait pas déranger les autres sims …
Exoctik Papaya avait également rapporté au foyer un peu plus de 10 000 simflouzes. Soit cent fois moins que le commerce de voiture, mais c’était toujours ça de pris! La cagnotte familiale frôlait désormais les 5 millions de simflouzes, et pour fêter ça, Mathieu décida qu’il était temps pour le foyer de prendre des vacances
Direction : l’île Twikkii!
Allez savoir pourquoi, ils tiraient tous une tronche de six pieds de long en rejoignant la navette …
… mais quelle ne fut leur surprise, en débarquant sur l’île avec leurs grosses tenues d’hiver …
… en découvrirant que Mathieu leur avait carrément acheté une villa secondaire!
Vous connaissez le château en brique à 60 000 simflouzes ?
Mathieu l’avait fait entièrement retaper …
… et avait réaménagé l’intérieur. C’était toujours mieux que de jeter l’argent par les fenêtres en le donnant à des associations de sims sans abris … hein Yoann??? Je te l’ai déjà dit, les sims sont A-S-S-I-S-T-E-S de nos jours, il leur suffit de rejoindre la boite à sim et hop! 20 000 simflouzes qui leur tombent tout cuits dans l’assiette! On n’allait pas leur faire don du fruit de notre dur labeur, par-dessus le marché!
J’avoue cependant que Mathieu avait vraiment des goûts de luxe : il avait acquis la seule villa de l’île donnant accès à une plage privée bordée par la mer. L’hôtel? Très peu pour lui!
J’en connaissais une qui risquait pas de s'en plaindre …
… Une résidence privée arrangeait en effet bien les affaires de Noémie car cette dernière pouvait, sans crainte de se faire ici aussi une réputation de travailleuse de nuit, approfondir sa relation avec Abdel Bailly, un vieux croulant encore plus laid que tout ceux avec lesquels elle avait flirté réunis.
Dans ce décor idyllique, Abdel ne résista pas longtemps à son charme …
… et les choses s’accélérèrent. Noémie avait pourtant juré qu’elle ne se marierait pas une cinquième fois, mais que voulez-vous, c’était avant de découvrir qu’au plus profond d’elle-même, la jeune femme désirait un troisième enfant … Abdel aurait-il une chance de profiter encore longtemps de sa retraite? Je parierai pas la dessus …
« Hé petit, je suis vraiment désolé que ta mère soit une telle traînée ... Mais la bonne nouvelle c'est qu'au moins, ton père est plus là pour voir ça » consolait Mathieu. Décidément le social, c'était pas son truc.
Le lendemain, toute la famille et Abdel allèrent profiter de la jetée de plage Twikkii.
Julian, n’ayant que faire, contrairement à Arthur, du tapinage leur sa mère, entreprit de maîtriser la danse du feu. La grosse doudoune d'hiver? C'était pour le style, je suppose ...
Puis il passa à la boutique acheter une babiole hideuse …
… et, enfin, tenta d’enseigner à Mathieu le salut « cool » qu’une autochtone lui avait appris. Non seulement, on aurait dit qu’il avait une crampe mais en plus, Mathieu avait jamais été cool, c'était donc peine perdue.
La famille découvrit les joies de la nourriture locale …
… d’une conversation amicale avec les autochtones …
… des pâtés de sable ( non Sylvestre, vu ce qu’ils arrivaient à faire, je dirai pas châteaux mais pâtés) …
… de nager en pleine mer (heureusement que l'assistante sociale était, elle, restée à Riverview) …
… de prendre un bain de soleil …
… (même si de ce côté-là, c’était pas la joie pour tout le monde) …
… et enfin, la famille s’offrit une expédition en hélico, qui les rendit tous malades.
Un dernier bain de soleil, pour peaufiner son bronzage …
… ou sa peau de homard frit, au choix …
…. et il était déjà temps de rentrer au bercail…
… pour fêter Noël!