Le Diable s’habille en Cléopâtre
Adeline nous avait quitté dans des circonstances mystérieuses, après quoi Lucas, dévasté, s'était finalement mis à revoir Jeanne. Leur relation était d'ailleurs sur le point de prendre une tournure décisive.
Pour son premier noël, Lana découvrit (non pas au pied du sapin mais sur le bar) une montagne de cadeaux.
Lucas avait décidé de réaliser le désir le plus cher de sa fille : se voir offrir un petit chaton.
Jeanne, de son côté, eut droit à une surprise encore meilleure : une bague de fiançailles !
Décidément, Lucas avait été très généreux cette année. J’espère qu’elle allait nous rapporter plus qu’un simflouze celle là...
Enfin, ce fut au tour de Lucas d'avoir une surprise le jour de son mariage. Une surprise des plus désagréables, par ailleurs : Lise qui s’était tapé l’incruste. Ça me fait penser, Cléopâtre a appelé ce matin, elle voulait récupérer sa robe.
Jeanne n’était pas peu fière d’avoir mis le grappin sur un sim riche (même si Lucas ne pouvait pas vraiment se vanter d’avoir gagné lui-même les 500 000 simflouzes
qui ronflaient dans la cagnotte familiale…) et en rapporta elle-même un peu plus de 4 000. C’était déjà ça de pris.
Décidément, Lise préparait quelque chose….
« Hé! Vous avez oublié de demander si quelqu’un avait une raison de s’opposer à ce mariage! Pesta la jeune femme.
- Ce quelqu’un n’a qu’à se taire à jamais! » Répondit Lucas, agacé.
Une fois les mariés partis couper le gâteau, je surpris Lise en train de parler à la petit Lana de choses totalement déplacées.
« Tu sais pourquoi cette femme est là? Pour remplacer ta mère! »
« Hummmmm, délicieux ce gâteau Lucas… dit-elle d’une voix mielleuse après avoir rejoint les jeunes mariés à table.
- Si seulement ta part pouvait être du pudding à l’arsenic… » pensa Lucas.
Après le brieffing de Lise, la petite n’avait plus l’air dans son assiette.
Jeanne avait beau faire son possible pour bien s’entendre avec elle, c’était trop tard. Le diable était passé par là. Le mal était fait.
Avec l’adolescence, l’animosité qu’éprouvait Lana envers sa belle-mère n’irait pas en s’arrangeant…